On vous avait manqués? Nous aussi, il faut bien avouer!
Notre virus du voyage continue de nous coller à la peau, même s’il nous a emmené moins loin, moins longtemps, mais différemment! Et c’est à « train-vélo » que les Fromages sont repartis!
Nous avons commencé notre périple avec la SNCF, les compartiments vélos et l’accessibilité des gares. Et bien il y a encore du travail…comment font les fauteuils roulants?! Après tout ça, nous sommes descendus à Livron, dans la Drôme.
Etape 1 Livron – Le Crestet
Et de Livron, direction la vallée de l’Eyrieux pour remonter l’ancienne voie ferrée. Même en étant arrivés en soirée, la chaleur est bien là. De temps en temps, les passage sous les arbres et les buis ramènent un peu de fraîcheur! Selon les endroits, nous sommes plus ou moins près de l’Eyrieux et ses méandres, on entend parfois quelques « ploufs » pendant qu’on pédale. Après un bivouac bien mérité, c’est reparti pour le Cheylard, bifurcation pour une nouvelle voie verte qui nous conduit jusqu’à Lamastre, puis c’est par la route que l’on rejoint Le Crestet où l’on retrouve la Com’ des Grenoblois pour festoyer les 30 ans balais de certains.
Etape Le Crestet – St Martin de Valamas
Le lendemain, on prend le temps avec les copains, puis il va falloir repartir. On refait la voie dans le sens inverse avec une escale aux Nonières pour une glace « Terre à Délices », raté, le relais vélo est fermé… Une pause au Cheylard nous permet de faire une étude sociologique de l’Ardèche profonde, et de constater que les toilettes turques existent encore en France. Et l’on poursuit pour s’arrêter dormir sous notre fidèle tente un peu avant St Martin de Valamas.
St Martin de Valamas – Chanéac
Un bref petit déjeuner, et nous rattaquons sur les routes ardéchoises. Il fait encore frais quand nous arrivons à Chanéac pour retrouver la petite famille Duclaut-Poisson en vacances dans le coin. Quelques petits jours où l’on va poser les vélos et profiter de et avec ceux que l’on ne voit pas souvent.
Etape Chanéac – Les Estables
Et revoilà le moment de partir, on confie nos sacoches et prenons de l’avance vers le Mont Mézenc. Partis à la fraîche, on profite d’autant mieux des odeurs de foin et de la lumière. On croise à peine plus de cinq voitures sur notre montée. Nos hôtes nous retrouverons au pied du Mezenc pour faire l’ascension ensemble. Avec le vent, on ne reste pas bien longtemps à contempler le panorama. Petit Sacha prend de l’avance avec son papa pour descendre. Toute la troupe traverse la frontière ardéchoise, nous à vélo le reste en voiture, pour descendre prendre un café ensemble aux Estables. Nous repartons ensuite de notre côté, en retrouvant nos sacoches et leurs poids, pour continuer notre périple côté Haute-Loire.